Repère temporel
Lorsque l'on devient parent, le temps s'écoule au fil des bougies que souffle la marmaille... Lorsque l'on devient cousette-blogueuse-qui-ne-résiste-pas-aux-challenges-des-copines, le sablier prend alors la forme d'une penderie dans laquelle s'alignent les robes, n'est-ce-pas Karen ?
Voici donc la robe accrochée au cintre n°04.10. Une fois n'est pas coutume, le Burda d'Avril a servi deux fois d'affilée... (et même qu'un 3ème patron est en cours pour notre rdv froufroutant de ce we !)
Les détails techniques de ce modèle réalisé avec Amélie ne manquent pas :
- passepoil maison
- pinces dans le dos
- pose d'une fermeture éclair invisible
(heureusement qu'Amélie était là, à 2 ça m'a presque paru fastoche tout ça !)
Place à l'impro et la spontanéité- parce-que ça se confirme, Burda c'est sympa mais sans sous-titrage c'est plus digeste... (il faut comprendre qu'une fois le tissu coupé, on a un peu ignoré le bla-bla explicatif)
* le passepoil qui ajoute une touche de couleur et souligne la coupe façon coeur croisé
* le passepoil toujours, qui sert aussi de parementure
* les plis religieuse en bas de la robe
* les manches réduites de moitié pour un effet papillon, plus light
Avantage du Burda - quand même, il y a en a, outre le coût modique : enfin une robe qui ne fait pas sac à patate japonais - que j'adore - (mais ça se mérite, avec les 2 grandes pinces et la fermeture éclair) !
Très ou trop sage, finalement, cette petite robe d'avril ?